samedi 28 février 2015

Le rituel du thé à la menthe

Le thé à la menthe marocain est l’un des types de thé les plus répandus. Les Marocains aiment le thé très sucré. Ils commencent par verser du thé vert dans une théière, avant d’y verser de l’eau bouillante et de laisser infuser 5 minutes. Après avoir filtré l’eau, alors devenue du thé vert, ils ajoutent du sucre et des feuilles de menthe. Le mélange est ensuite porté à ébullition. Pour un équilibre parfait entre thé vert, sucre et menthe, on ne mélange jamais à même la théière. Les Marocains remplissent un verre, qu’ils versent ensuite dans la théière. Ce geste est répété plusieurs fois, jusqu’à obtenir un thé savoureux. Pour la touche finale, l’idéal est d’ajouter quelques gouttes de fleur d’oranger.


mercredi 25 février 2015

Tanger et les peintres 1. Matisse

"Pinceladas de Matisse en Tánger"


"Había perdido a su padre. El coleccionista ruso Andreï Chtchoukine había rechazado sus cuadros La danza y la música, que deberían haber decorado su mansión moscovita. A falta de equipaje, lo acompañaba su mujer, pero apenas disponía de contactos en la ciudad. La llegada de Henri Matisse a Tánger se produjo, además, en medio de una perenne llovizna, que se prolongaría durante casi quince días, y que lo recluyó en su habitación del Hotel Ville de France, condenándolo a la inactividad. No parecía la mejor manera de superar la depresión que arrastraba. Y sin embargo, la ciudad lo envolvió con su luz y sus colores. El viaje de trabajo se convirtió en un viaje interior del que saldría más fuerte, más capaz de manejar sus emociones para hacerlas pintura.

Aunque hayan pasado ya más de cien años desde aquella primera visita, las calles de Tánger siguen conservando varios de los rincones que el pintor francés recorrió. Ir tras los pasos de Matisse es todavía posible, y el recorrido, inevitablemente, ha de iniciarse en el Hotel Ville de France, inaugurado a finales del siglo XIX. Considerado el mejor hotel europeo de la ciudad y un referente del Tánger internacional, cerró sus puertas en 1992, y ahora espera, tras su restauración, una reapertura que se ha prolongado más de lo previsto. Desde su habitación número 35, con dos ventanas que daban a una vista espectacular de los tejados de la ciudad vieja y la bahía, Matisse pintó su Vu d'une fenêtre, en un azul puro y chisporreante, que se convertiría en una de las señas de identidad de su pintura. El hotel está cerrado, por lo que contemplar la misma vista es de momento imposible, pero sí podemos acercarnos a él desde la plaza del 9 de abril, en pleno centro, y apreciar su evocadora silueta.
A finales de 1912, y tras esa primera visita lluviosa, Matisse volvió a Tánger y sus pinceles no dejaron de trabajar hasta principios del año siguiente. "¡El paraíso existe!", dicen que afirmó cuando conoció la ciudad. Y la luz y la arquitectura que lo fascinaron se trasladaron a sus lienzos. La kasbah fue uno de sus rincones favoritos y sigue siendo de los más pintorescos.

La puerta Bab El-Assa protagonizó un lienzo de grandes dimensiones, actualmente expuesto en el Museo Pushkin de Moscú. Sin salir del recinto amurallado, conviene detenerse frente al marabout Ben Ajiba, un santuario de vibrantes tonos verdes, plasmado en otra de las composiciones del artista francés. La cotidianeidad de la kasbah, como también la de la medina, con las campesinas rifeñas y sus coloridos trajes regionales, siguen conservando el espíritu de las gtelas de Matisse, que convirtió la vida cotidiana de Tánger en el gran asunto de los veinte lienzos y decenas de bocetos que produjo durante su estancia en la ciudad. Sus evocadoras vistas de la bahía siguen siendo relajantes en medio del caos que es la ciudad de Tánger actual, y en la plaza del Mechoir o los caminos de tierra que conducen al café Hafa no resulta difícil entender por qué esta ciudad lo fascinó. Matisse llegó a Tánger deprimido un lluvioso día de enero de 1912. La ciudad fue su mejor medicina, y cuando la abandonó, un año después, ni él ni su arte volverían a ser los mismos.

Source originelle: http://elviajero.elpais.com/elviajero/2013/07/03/actualidad/1372829248_283311.html

Idée, texte et photos choisis par Aurora, élève d'Avancé I

dimanche 22 février 2015

Ryanair. Bagages de cabine

REGLEMENTS RYANAIR SUR DES SUJETS PARTICULIERS
BAGAGES DE CABINE

Chaque passager est autorisé à transporter un bagage de cabine pesant jusqu'à 10 kg et présentant des dimensions maximales de 55 x 40 x 20 cm et un petit sac de dimensions maximales de 35 x 20 x 20 cm*.


Les bagages de cabine additionnels / surdimensionnés seront refusés à l'embarquement ou le cas échéant, placés dans la soute de l'avion pour la somme de 50 £/50 € ( frais soumis à la TVA sur les vols domestiques aux tarifs gouvernementaux applicables ) . Si vous n'êtes pas sûr, veuillez vérifier au comptoir de dépose bagage avant de passer par la sécurité de l'aéroport .

En raison des limites de place, seuls 90 grands sacs de cabine (55 x 40 x 20 cm) peuvent être transportés dans la cabine. Les sacs en surplus seront transportés gratuitement en soute

* Un sac pour enfant de 5 kg maximum peut être transporté par l'accompagnateur adulte en
plus de son propre bagage de cabine lorsqu'un nourrisson (âgé de 8 jours à 23 mois) voyage sur ses genoux.

Vous devez également vous conformer entièrement à l’article 8 de nos Conditions générales (cliquer ici pour un lien vers cet article). http://www.ryanair.com/fr/termes-et-conditions/article8-itemsunacceptableas

Bon......je m'apitoie sur vous:

lundi 16 février 2015

Tanger et les écrivains 2

"Un nouveau port, gigantesque, toujours inachevé. Depuis plus de dix ans, Tanger s’accroche à un rêve économique : devenir le plus grand port de la Méditerranée. Au pied de la vieille médina, l’avancement du chantier pharaonique se mesure en kilomètres de quais bétonnés sur la mer. Face au détroit de Gilbraltar, ouverture mythique sur l’Europe, le défi de cette rénovation évalue en “capacités de tonnages” des terminaux de conteneurs. Vers l’est, en direction du cap Malabata, cette frénésie de construction a déjà envahi l’arc sableux de la baie de Tanger. Au pied des contreforts du Rif s’alignent hôtels et immeubles modernes, déposés en vrac par la dernière vague du tourisme balnéaire.

Il suffit pourtant de franchir l’une des vieilles portes de la médina pour retrouver la Tanger éternelle. Celle du Grand Socco magnifié par Joseph Kessel : une vaste place colorée par ses étals de fruits et poissons et la présence impassible de ses femmes drapées de leur fouta de tissu blanc et rouge. 

“Imaginez ce que c’est que de voir couchés au soleil, se promenant dans les rues, raccommodant des savates, des personnages consulaires, des Catons, des Brutus, auxquels ne manquent même pas l’air dédaigneux que devaient avoir des maîtres du monde”, écrivait Delacroix en 1832. Il suffit de pousser jusqu’à la place de la casbah pour être invariablement saisi par la clarté de cette baie lavée par le chergui, ce vent sec et chaud venu de l’est, et dont la lumière fut immortalisée par Matisse.

Matisse. Vue sur la baie

Aujourd’hui encore, il n’est qu’à se perdre au gré des ruelles et placettes de cette antique cité portuaire pour comprendre pourquoi Tanger n’a cessé d’envoûter voyageurs, artistes et écrivains. En 1867, déjà, Mark Twain était sous le charme : “Tanger est une ville étrangère s’il en fut jamais, et on ne peut trouver son âme véritable dans aucun autre livre que les Mille et Une Nuits. Pas un seul blanc et pourtant un essaim de gens autour de nous. Voici une ville bondée et bourrée, enfermée dans une muraille de pierre massive qui a plus de mille ans.” Le secret de cette ville ? Sans doute cette capacité de survivre aux diverses frénésies qui ont tenté de la faire basculer dans la modernité. Arabe au VIIIe siècle, dominée par les Européens dès le XVe siècle (Portugais, Espagnols puis Anglais), la ville fut déclarée “zone internationale” en 1923. Le reste du Maroc est placé sous protectorat français, Tanger est placée sous l’autorité d’une dizaine de pays.

En un demi-siècle, la ville est chahutée, bousculée par la convoitise débridée des Nations. Les investissements étrangers affluent. Avant la Seconde Guerre mondiale, fruit de ce métissage économique et culturel, la ville “nouvelle” voit le jour, au pied de sa médina. Hôtels, cafés, théâtres, légations… Partout des styles tentent de laisser une empreinte. Mais loin de perdre son âme dans ce bric-à-brac architectural, Tanger s’en nourrit et renaît. Peu à peu, la ville digère et agglomère ces nouveaux conquérants à son identité arabe. En 1938, Paul Morand écrivait : “C’est une personne officielle, une fiction diplomatique. Elle ne pousse pas de racines profondes dans la terre d’Afrique. Ville internationale, ses égouts sont espagnols, son électricité anglaise, ses tramways français, et dans ce guêpier inven­té par les chancelleries (afin d’empêcher que l’entrée de la Méditerranée occidentale n’appartienne à un seul), il y a peu de vrais Marocains. Mais Tanger est beau à la minute où, de l’Atlantique, on l‘embrasse avec Gibraltar d’un seul coup d’œil.”

              Emilio Sanz de Soto, Pepe Carleton, Truman Capote, Jane y Paul Bowles

En quelques décennies, mais surtout dans les années 1950 et 1960, des écrivains du monde entier séjournent dans la ville. Séduits, ils reviennent, s’attachent, s’installent. Truman Capote, Jack Kerouac, Tennessee Williams, Paul Morand, Roland Barthes, Jean Genet, Marguerite Yourcenar, Paul Bowles… La plupart ont laissé des carnets de voyage, des romans, des films. Avec cette folie partagée de vouloir dompter la magie du lieu. “C’est à Tanger que j’ai rêvé d’une folie aussi crédible. Oui, un écrivain aux prises avec ses propres démons, comme moi quand je marchais tard dans la nuit, ivre et perdu dans les ruelles du Socco. Oui, ce festin était le mien aussi”, notait Williams Burroughs à la fin des années 1950. Il reste de nombreuses traces de ce passé littéraire. Les lieux, bien sûr, pres­qu’inchangés, évoqués dans tous ces livres ; des hôtels (le Minzah, le Continental, El-Muniria) et des cafés mythiques. Il reste surtout Tanger. Celle qui fut rendue aux Marocains, à l’Indépendance du pays, en 1956. Puis celle, qui, depuis un demi-siècle, tente d’écrire un nouveau chapitre de son histoire. Délaissée sous le règne d’Hassan II, Tanger fut la première cité marocaine à être visitée par le roi Mohamed VI après son investiture (1999). Les Tangérois y ont vu un signe. Car ce Tanger-là n’a rien perdu de son charme d’antan. Il fête chaque année un Salon du livre et continue d’attirer artistes et écrivains.

Certes, l’ambiance n’est plus celle des années d’après guerre. L’attirance des auteurs étrangers pour l’exotisme oriental est passée de mode. Mais la tradition survit, perpétuée par des écrivains européens comme Daniel Rondeau (Tanger, 1987 et Retour à Tanger, 1997). Surtout, la ville a fini par inspirer des écrivains de langue arabe. Dans la lignée de Mohamed Mrabet, premier auteur marocain à avoir été publié chez Gallimard, Tahar Ben Jelloun ou Mohamed Choukri (enterré à Tanger en 2003) ont écrit sur la ville. Mais avec un autre regard. “Quand je suis arrivé, il y avait deux Tanger : le Tanger colonialiste et international et le Tanger arabe, fait de misère et d’ignorance. A l’époque, pour manger, je faisais les poubelles. Celles des Européens de préférence, car elles étaient plus riches”, écrivait Choukri, évoquant son arrivée dans les années 1950.

Soixante ans plus tard, le rapport Nord-Sud est toujours aussi fort dans la ville. Mais il s’est inversé. Au temps de la colonisation, l’Europe regardait Tanger avec envie. Aujourd’hui, c’est Tanger qui rêve d’Europe. Au pied de l’impassible médina, dans la frénésie bétonnière du nouveau port, des milliers de harragas (“brûleurs”), candidats à l’émigration clandestine, brûlent leurs papiers avant de tenter un passage vers l’autre rive."

Olivier Piot
Le Monde, en savoir plus sur:

vendredi 13 février 2015

Extra extra.......... Programme du voyage!





Entrée realisée grâce à la prof Inma et à Jose, élève d'Avancé 2

mercredi 11 février 2015

Tanger et les écrivains 1. Paul Bowles

Voici un commentaire sur le livre de Mohamed Choukri "Paul Bowles. Le reclus de Tanger" dont Leonor Merino nous a parlé. 

“Cualquiera puede pasar aquí unas semanas y escribir un librito”. El escritor Mohamed Chukri (Beni Chiker, 1935-Rabat, 2003), autor de la frase, lamentaba la superficialidad con la que algunos literatos abordaron el retrato de Tánger. Y lo que es más grave: “El odio, el racismo y el desprecio con que se trata al humilde pueblo”. Las reflexiones forman parte de Paul Bowles, el recluso de Tánger, recuerdos recogidos en 1996 y que publica en español Cabaret Voltaire.

Virginia Woolf, Capote, Ginsberg, Kerouac, Gore Vidal, Tennessee Williams o Paul y Jane Bowles fueron algunos de los ilustres que hicieron parada y escribieron sobre el cuadrilátero vital de Chukri. “Defiendo mi clase, a los marginados y ejerzo mi venganza contra una época determinada, humillante y miserable”, se justificó una vez el autor de El pan desnudo, una de las autobiografías más crudas, por lo sincera, que se conocen.

La extraña pareja formada por los Bowles, instalada en la ciudad desde 1947, es el epicentro de un universo literario que Chukri retrata con ácida sinceridad. Al primero le conoce muy bien tras 25 años de trato. A él le dicta por las tardes, frase por frase, en español, las páginas que escribía por las mañanas de su autobiografía, entonces titulada Por un trozo de pan, y que Bowles traducía al inglés. Será un foco de tensión entre ambos.

Con descarnada naturalidad retrata al personaje, consumidor de kif para escribir, pero que en la calle solo fuma cigarrillos. Homosexual de discreción proverbial, “acordó con Jane no ocultarse nada”. Chukri lo trata de elitista y racista (“Le gustaba Marruecos, pero no los marroquíes”) y concluye que necesita aislarse del mundo.

Aún es más sagaz Chukri cuando disecciona la vida literaria de Bowles y la coteja con la real. Critica una de sus obras clásicas (Memorias de un nómada es, en su opinión, “una sucesión de monótonos y aburridos interludios para pagar los gastos de hospitalización de Jane”) y se fija en que el sexo es la causa de las desgracias de sus protagonistas: “La sexualidad siempre va ligada al crimen o al desenfreno. Paul Bowles es un criminal sexual en potencia”. Unos personajes, en consecuencia, “destinados a la autodestrucción o a un doloroso final”, en el contexto de una obra que “envejeció mucho” con la enfermedad de Jane, que hizo que Bowles se volcara en las traducciones de autores árabes, concediendo entrevistas o iniciando el diario personal…

Paul Bowles, en su casa de Tánger en enero de 1989. / BERNARDO PÉREZ

Ese esquivar la ficción de Paul molestaba a una Jane que, señala Chukri, no podía reprochar gran cosa a su marido: “Lo que le faltaba a ella no eran aptitudes sino perseverancia”. Amargada por la indiferencia o inquina con que se recibió su Dos damas muy serias (Anaïs Nin se le presentó con una lista inmensa de errores ortográficos), Jane se ahogó no tanto en alcohol como en su ambición, que no cuajó. A partir de los 50 se alejó de la escritura. Eso reforzó su componente autodestructivo canalizado, en parte, con aventuras homosexuales intensas y pasajeras. Paul desviaba fobias hacia sus personajes; ella, hacia sí misma.

El libro disgustó sobremanera a Bowles, según Miguel Lázaro, editor de Cabaret Voltaire. Pero menos que a Jean Genet ver publicadas las confidencias que le había hecho a Chukri en otro inédito en castellano que costó la amistad entre ambos. La editorial lo publicará en la primavera de 2013, añadiendo al volumen un opúsculo, también de Chukri, sobre Tennessee Williams en el volumen Jean Genet y Tennessee Williams en Tánger.

La recuperación de su obra es fruto del acercamiento de Lázaro y de la traductora Rajae Boumediane El Metni al hermano de Chukri, Abdelaziz. El escritor no dejó testamento formal,pero el heredero guarda en un garaje, no en las mejores condiciones, su biblioteca personal y otros legados. Mientras, Cabaret Voltaire recuperará Rostros, amores, maldiciones y Tiempo de errores (sobre su sacrificio para aprender a leer). Y en octubre se atreve con su famosísima El pan desnudo, que se titulará El pan, por imposición de Juan Goytisolo, autor del prólogo del libro sobre Bowles y conocedor, como pocos, de esos paraísos del norte de África"

Carles Geli. El País: 
http://cultura.elpais.com/cultura/2012/08/15/actualidad/1345058501_828524.html

Plus info: http://fr.wikipedia.org/wiki/Mohamed_Choukri

Rencontre avec Leonor Merino. EOI Villaverde

Hier la réunion a éte pour nous connaître et nous familiariser avec le voyage à Tanger, profitant pour écouter et apprendre de madame Merino.

On vous montre la photo envoyée par la prof Inma.




Et le vidéo de Malek "À Tanger". On y va!
https://www.youtube.com/watch?v=hlHf2ItibGM

lundi 9 février 2015

Le Palais Moulay Hafid

Le Palais des Institutions Italiennes, célèbre sous le nom de palais Moulay Hafid, est considéré comme l’un des principaux monuments historiques de Tanger. Il est situé dans le quartier central de Hasnouna, au coeur d’une propriété d’une superficie de 32.800 m2, dont 8.669 sont bâtis.

Aujourd’hui admiré pour son magnifique jardin aux arbres centenaires, son grand patio avec sa sublime fontaine en marbre et des salons en stuc, le palais Moulay Hafid, également connu des tangérois sous le nom de «Palais des institutions italiennes», a connu un destin des plus mouvementés.

Le Palais Moulay Hafid – Circa 1920

Ce Palais a été construit à la fin du XIXe siècle par le sultan Moulay Hafid. Il voulait faire de son palais un chef d’oeuvre de l’architecture de style mauresque tant pour la beauté de ses jardins que pour ses intérieurs et sa superficie. Jamais habité par le Sultan qui parti en exil en Espagne au début du XXe siècle, il exigea toutefois son achèvement comme condition à sa signature de l’acte de protectorat. Sa construction fut finalisée en 1912.


TEXTE CHOISI PAR INMA, PROF DE FRANÇAIS

samedi 7 février 2015

Café Hafa


Il y a un café idyllique, légendaire à Tanger. Il a été construit en 1921, sa belle terrasse avec une magnifique vue sur l 'Espagne quand il fait clair, en buvent un thé à la menthe…

C’est dans ce café mythique que s’est construite en partie la légende de Tanger. De Paul Bowles à Mohamed Choukri, de Jean Genet aux Beatles, aux Rolling Stones, Jimi Hendrix, Sean Connery, William Burroughs et bien d’autres, tous les amoureux de l’âme tangéroise sont venus ici bavarder, écrire, peindre, boire le thé à la menthe ou fumer la chicha.

Pour une meilleur ambiance, on peut voir la vidéo de Luis Eduardo Aute “Hafa Café”, avec une esthétique des années quatre-vingt-dix, et montée par Silvio Rodríguez!



lundi 2 février 2015