samedi 31 janvier 2015

Abdellah Baïda à Tetouan

L'écrivain marocain Abdellah Baïda présente son roman "Le dernier salto" dans l'Institut Français à Tetouan. C'est possible que nous fassions un randonnée à Tetouan pendant le voyage.


On peut connaître plus du livre, de l'auteur et de son monde:
http://www.medias24.com/CULTURE-LOISIRS/pdf8410-Le-Dernier-Salto-nouveau-roman-d-Abdellah-Baida.html


L´écrivain a gagné le prestigeux Le Prix Grand Atlas 2014 dans les catégories Culturthèque et Ëtudiants:
http://www.aujourdhui.ma/maroc/culture/prix-grand-atlas-2014-moha-souag-halima-hamdane-et-abdellah-baida-recompenses-114019#.VQCtunzF_YY

vendredi 30 janvier 2015

Pierre Loti, écrivain français, et le Maroc


Pierre Loti,  écrivain français du XIX éme  siècle écrit  dans son livre « AU MAROC » ses impressions sur les villes qu’il visite, voici un extrait sur son arrivée à Tanger le 26 Mars 1889



Des côtes Sud de l’Espagne, d’Algésiras, de Gibraltar, on aperçoit là-bas, sur l’autre rive de la mer, Tanger la Blanche.

Elle est tout près de notre Europe, cette première ville marocaine, posée comme en vedette sur la pointe la plus nord de l’Afrique ; en trois ou quatre heures des paquebots y conduisent, et une grande quantité de touristes y viennent chaque hiver. (…)

Vue du large, elle semble presque riante, avec ses villas alentour bâties à l’européenne dans des jardins ; un peu étrange encore cependant, et restée bien plus musulmane d’aspect que nos villes d’Algérie, avec ses murs d’une neigeuse blancheur, sa haute casbah crénelée et ses minarets plaqués de vieilles faïences.

C’est curieux même comme l’impression d’arrivée est ici plus saisissante que dans aucun des autres ports africains de la Méditerranée. Malgré les touristes qui débarquent avec moi, malgré les quelques enseignes françaises qui s’étalent çà et là devant des hôtels ou des bazars, -en mettant pied à terre aujourd’hui sur ce quai de Tanger au beau soleil de midi,- j’ai le sentiment d’un recul subit à travers les temps antérieurs..Comme c’est loin tout à coup, l’Espagne où l’on était ce matin, le chemin de fer, le paquebot rapide et confortable, l’époque où l’on croyait vivre !...



TEXTE  CHOISI PAR  Inma , l’UNE DES PROFS DU DÉPARTEMENT DE FRANÇAIS DE L’ÉCOLE 

mercredi 21 janvier 2015

Tanger, la ancienne


Une première vue sur la ville que on visitera.

Pendant l’époque coloniale, la ville a obtenu le status d’internationalité à partir de 1925, dont la période a permis un progrès culturel et économique avec un rythme frénétique. Les tangerines se souviennent encore avec de nostalgie ces jours-là dorés quand personnes célèbres de la culture et de la vie sociale du monde entier, y allaient attirés par la liberté de cotumes et de vie en général.